La semaine a été chargée en actualité ! Le Président du MR s’est prononcé à propos de nombreux éléments dans la presse cette semaine :
Situation Covid : des perspectives et un calendrier !
La situation que nous vivons est inédite par sa longueur et la restriction de nos libertés individuelles.
Nous devons évaluer la situation à travers une grille de lecture triangulaire : le virus, la santé mentale et les critères économiques. Nos décisions politiques ne sont pas robotisées sur base de chiffres tirés d’un fichier mais d’un délicat équilibre entre ces trois éléments. C’est ainsi que nous pensons que les experts qui conseillent le gouvernement ne sont pas les décideurs : la décision relèvera toujours du politique et demande par ailleurs beaucoup de courage et d’engagement.
Nous avons demandé l’évaluation de l’ouverture des métiers de contact pour ce Codeco du 5 février et demandons des perspectives claires pour les autres secteurs et surtout un calendrier de vaccination.
Retrouvez les interventions de Georges-Louis Bouchez sur le sujet :
"Mais à quoi servent ces déclarations intempestives de virologues qui vous expliquent de matin au soir que demain sera pire ?"
➡ @GLBouchez @MR_officiel est revenu sur ces échanges avec le virologue @vanranstmarc #matin1 @tgadisseux @FrancoisHeureux pic.twitter.com/Cp9zjtbIUY
— La Première (@lapremiere) February 5, 2021
Santé mentale : le MR souhaite que la santé mentale devienne une cause nationale !
Il n’est pas naturel d’être privé de liberté pendant aussi longtemps. L’être humain est fait pour être libre, s’amuser, se distraire, se rencontrer. De cette vie là, nous tirons du plaisir, nous nourrissons notre esprit et notre cœur. Les spécialistes observent deux conséquences, toutes deux aux extrêmes : ceux qui sont victimes de confinement psychologique, qui s’interdisent tout y compris les plaisirs accessibles et ceux qui font preuve de réactance, à savoir qu’ils rejettent fortement le virus et tout ce qui en découlent. Chacun d’entre nous oscille entre les deux extrêmes du curseur mais la seule chose qui est sûre, c’est que la souffrance psychologique et la détresse sont bien réelles. Les conséquences sont à court et à moyen terme et le MR a décidé de se concentrer sur 3 groupes cibles, les plus touchés : les plus jeunes à qui l’on ne rendra pas ces années perdues, essentielles dans leur développement, les familles notamment les familles monoparentales et les plus précarisées, les indépendants pour qui le travail est une raison de vivre et qu’il faudra accompagner pour qu’ils puissent reprendre dans de bonnes conditions.
Retrouvez les interventions de Georges-Louis Bouchez sur le sujet :
Fin du moratoire sur les faillites et réforme de la procédure de réorganisation judiciaire (PRJ)
Le moratoire des faillites prenait officiellement fin le 31 janvier. Ce moratoire a été pensé afin de ne pas maintenir artificiellement en vie des entreprises qui ne sont plus viables et surtout de proposer un soutien pour celles qui accumulent des dettes depuis le début de la crise. Cette procédure permet d’assainir la gouvernance de l’entreprise. Maintenir la situation actuelle n’est pas sain, c’est comme une voiture à laquelle on aurait retiré la jauge d’essence et qu’on forcerait à rouler.
Retrouvez l’intervention de Georges-Louis Bouchez sur le sujet :
?La #PRJ adaptée doit permettre aux entreprises saines d’être préservées !
Le moratoire était une réponse d’urgence.
? Interview complète sur @LesNews24 du lundi 1er février: https://t.co/MEqq6hgJxV
? Et: https://t.co/yJkYofK0EP#PresidenceMR #fierdetreliberal pic.twitter.com/0aiyaU898O— Georges-L BOUCHEZ (@GLBouchez) February 1, 2021
Loi pandémie
Aucune mesure liberticide ne peut persister plus d’une heure de trop. La proposition de Franck Vandenbroucke d’institutionnaliser l’exceptionnel que nous vivons nous paraît très dangereuse. Nous avons certes besoin d’un véritable débat au parlement car certaines mesures comme le couvre-feu ou les frontières doivent répondre de nos lois démocratiques, mais certainement pas en faire une norme.
Retrouvez les propos de Georges-Louis Bouchez sur la question :
Affaire Gilkinet : dire la vérité, juste la vérité, rien que la vérité
La décision de supprimer des guichets a été actée par le Conseil d’administration auquel était présent un commissaire Ecolo. Elle a été pensée et communiquée en plusieurs étapes de la concertation à la communication. Au parlement, le ministre Gilkinet a défendu ne pas avoir été informé, contrairement aux informations que nous avons en notre possession. Chaque personne doit prendre ses responsabilités. Nous ne voulons aucune polémique, mais pour le Président Georges-Louis Bouchez, « si dire la vérité en politique est un problème, alors j’ai un gros problème ! »
Retrouvez son intervention ici :
La polémique ne m’intéresse pas, je veux juste que l’on puisse dire la vérité, dire tout haut ce que beaucoup disent en coulisses.
Si dire la vérité est devenu un problème, alors j’ai un gros problème.
? @lapremiere https://t.co/Ch5l3GFcDg#PresidenceMR #fierdetreliberal ?? pic.twitter.com/yv1sAkjgui— Georges-L BOUCHEZ (@GLBouchez) February 5, 2021
Interview du week-end : L’Avenir
Georges-Louis Bouchez a accordé une interview pour le quotidien l’Avenir. Il y’a évoqué les questions des libertés individuelles, sa vision du libéralisme, sa vision de la gestion de la crise sanitaire ainsi que notre proposition sur la santé mentale.
« Je fais de la politique de façon populaire et lutte contre le populisme »
« Je veux que nous soyons le parti des classes populaires, de ceux qui travaillent et veulent améliorer leur vie. »
« Ce dont la Belgique a besoin, c’est d’un plan d’investissement et de relance de 140 à 150 milliards d’euros à l’horizon 2030. Vous n’atteindrez pas des montants pareils avec l’argent public, mais en vous associant à des partenaires privés ou mixtes, dont la mobilisation est fondamentale. »
Lire l’intégralité de son interview dans l’Avenir