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A l’approche du 1er mai, les équipes du Mouvement Réformateur s’affairent en coulisse pour préparer le grand rassemblement des libéraux. L’occasion, comme chaque année, de mettre en lumière et de remercier les travailleurs et les travailleuses, celles et ceux qui bossent pour que chaque jour, notre pays avance et prospère.

Cet événement est l’opportunité pour les libéraux de revenir sur le projet politique que nous portons depuis toujours, de saluer les efforts entrepris et de doucement tirer le bilan des victoires libérales ces dernières années, à un an des élections. Pour autant, le travail est loin d’être fini ! Il nous reste encore une petite année pour réformer ce qui est réformable, et c’est possible. A cet égard, le marché du travail doit encore se réformer pour améliorer nos différents taux d’emploi et atteindre les 80% à l’horizon 2030 mais aussi pour diminuer le coût du travail auprès des employeurs forts nombreux dans ce pays et à qui on demande monts et merveilles, la formation pour arriver à combler les 141 métiers en pénurie et enfin notre jeunesse, qui part demain sur le marché de l’emploi.

Pour ce faire, le président du MR, Georges-Louis Bouchez, avance une mesure phare : un 13e mois pour celles et ceux qui travaillent dans des métiers en pénurie et dont le salaire mensuel net est inférieur à 2300 euros net (salaire médian). Dans les faits, cette mesure représente un gain pour l’État, à chaque travailleur remis en activité de près de 28 000 euros par personne. Il est important de préciser que cette mesure ne peut fonctionner que si toutes les autres mesures de sanctions sont acceptées : limitation à deux ans pour les allocations de chômage (si refus de deux métiers ou formations en pénurie, exclusion du chômage), accepter les travaux d’intérêt général,… A cet égard, Georges-Louis Bouchez a accordé une longue interview à la DH.

A l’approche du 1er mai, le président du MR était également l’invité de la matinale de BX1 vendredi matin, l’occasion pour le libéral de revenir sur ce grand rassemblement qui aura lieu à Molenbeek cette année, terreau socialiste depuis de trop nombreuses années et où les mauvaises politiques ont freiné tous développements “quand les libéraux ne sont pas là, les choses vont plus mal!” a-t-il déclaré.

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