Georges-Louis Bouchez exprime sa solidarité avec toutes les victimes des inondations et salue le travail des bénévoles qui ont participé au nettoyage et à la reconstruction.
Il y un an, la Belgique était frappée par des inondations catastrophiques. De nombreuses personnes en ont subi les conséquences un peu partout dans le pays, mais c’est en province de Liège que la situation a été la plus dramatique. Personne n’a oublié les images de ces trombes d’eau déferlant dans les rues et recouvrant certaines habitations jusqu’à la toiture. 39 personnes sont décédées, emportées par les eaux ou coincées dans leur habitation.
Aujourd’hui, le soleil brille mais personne n’a oublié. Si de nombreuses personnes ont pu réintégrer leur habitation, d’autres se débattent toujours dans les ennuis administratifs ou peinent à trouver des hommes de métier disponibles. Certains biens, situés trop près des rivières, devront être expropriés.
« Mes premières pensées vont vers les victimes et leurs proches. Je pense à toutes celles et tous ceux qui ont vu toute leur vie emportée par les eaux. Je pense aussi aux personnes qui n’ont aujourd’hui toujours pas retrouver le confort de leur maison », déclare Georges-Louis Bouchez. Le président du MR salue également le travail des bénévoles : « l’élan de solidarité a été extraordinaire et se poursuit encore aujourd’hui dans la discrétion. Les Belges se sont mobilisés en masse, flamands comme francophone, illustrant bien à quel point les querelles linguistiques politiques sont éloignées des préoccupations des citoyens ».
Georges-Louis Bouchez rappelle que des leçons ont été tirés de cette tragédie. Une commission d’enquête mise en place au Parlement wallon a remis ses conclusions au gouvernement, qui les met actuellement en œuvre afin d’éviter qu’un tel drame se reproduise. Les autorités politiques n’ont également pas ménagé leurs efforts. Le gouvernement fédéral a prêté une importante somme d’argent à la Wallonie pour l’aider à faire face à ses besoins, tandis que le gouvernement wallon s’est beaucoup investi auprès des compagnies d’assurance pour garantir à chaque victime une assistance financière.
Un an après, les stigmates des inondations n’ont pas disparu et le chemin est encore long mais ce premier anniversaire est une étape importante pour célébrer le retour à la vie dans les vallées dévastées.
