L’annonce a été faite peu avant 16 heures ce vendredi, l’administrateur délégué de Beci, patron des patrons bruxellois, Olivier Willocx, figurera sur les listes MR à Bruxelles.
Olivier Willocx a joué un rôle prépondérant dans le monde des entreprises bruxelloises depuis l’année 2000, année de sa nomination en tant que Directeur Général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Bruxelles.
Georges-Louis Bouchez : « Je suis très heureux de pouvoir vous annoncer un nouveau candidat en place éligible sur les listes bruxelloises puisqu’il s’agit du représentant des patrons bruxellois, Olivier Willocx à la tête de BECI depuis 25 ans. C’est important pour le MR de montrer que le monde de l’entreprise est un enjeu majeur du redéploiement de notre économie et de notre Pays. Olivier aura un double rôle au sein du MR, s’investir sur les enjeux des entreprises aujourd’hui, les enjeux traditionnels de travail. L’expertise qui est la sienne sera de la plus grande importance. L’enjeu avec Olivier est de permettre à Bruxelles de rester un pôle économique majeur où il fait bon investir, s’investir et développer. Avec de nombreux responsables du parti dont Sophie Wilmes et David Leisterh nous avons considéré Olivier comme un véritable atout pour relever tous ces challenges. »
David Leisterh : « Je suis ravi de l’arrivée d’Olivier au sein du MR, à Bruxelles. Il connait Bruxelles, son tissu économique et on le sait, Bruxelles doit parvenir à garder sa classe moyenne, en créer aussi. Chaque année 3000 entreprises quittent la capitale. Au travers de Beci il connait bien ce que les entreprises attendent. Avec Olivier, on va chercher un expert de terrain, de l’entreprise. Je suis fier et heureux de compter sur quelqu’un d’une si grande qualité. »
Olivier Willocx : « Après 25 ans j’avais envie de faire autre chose. Être dans la prise de responsabilités plutôt que spectateur de l’extérieur. Avoir l’opportunité d’être la voix des entreprises, c’est difficile de dire non. Ce n’est pas la première fois qu’on me demande de venir sur une liste, j’ai toujours dit non jusqu’à présent. On ne m’a pas demandé de baisser le ton. C’est vrai que les questions liées à l’économie, la pauvreté, le chômage … à Bruxelles sont de véritables enjeux. Dès demain, il faut rassembler et activer l’ensemble des acteurs bruxellois pour faire en sorte que Bruxelles aille mieux puisqu’elle ne va, définitivement, pas bien. J’ai le sens des responsabilité, j’ai donc accepté. »
