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C’est à Mons que l’on retrouve cette semaine Guillaume Soupart.

Conseiller communal, vice-président national des Jeunes MR, assistant parlementaire de Jacqueline Galant, il nous raconte son engagement politique comme jeune élu dans la cité du Doudou.

 

 

 

 

Guillaume, tu es conseiller communal dans la cité montoise, comment vois-tu ce rôle ?

Un mandat de conseiller communal, c’est hyper diversifié. En étant dans l’opposition à Mons aux côtés de Georges-Louis, on se donne à fond. On propose des solutions aux problèmes quotidiens des Montoises et Montois. On est présent sur le terrain, aux festivités, aux réunions citoyennes, en porte-à-porte. Ce qui est certain c’est que la plus belle partie de la fonction de conseiller communal c’est de pouvoir marier des couples. C’est un moment ultra privilégié dans la vie d’un couple. Il y a aussi la période du Doudou où je me dis que je suis tellement fier d’être un représentant de cette magnifique ville.

Il y a peu, tu as été élu Vice-Président des Jeunes MR et Président des Jeunes MR de Mons-Borinage. Quels sont tes challenges à venir?

Représenter un mouvement de jeunesse libéral dans une terre rouge comme celle de l’arrondissement de Mons est un challenge ! On se donne à fond pour démontrer qu’un autre chemin, plus émancipateur est possible pour que notre région se redresse et pour redonner de la fierté aux 250.000 habitantes et habitants de Mons-Bo. Au niveau des Jeunes MR, on doit continuer notre travail de fond en proposant des idées novatrices mais toujours réformatrices. Le but c’est aussi d’avoir le plus de jeunes possibles sur les listes et de développer au maximum leurs propres compétences.

Prochainement, plusieurs jeunes se présenteront sur les différentes listes. Quel conseil donnerais-tu pour ceux qui veulent se lancer en politique?

Le conseil principal, c’est qu’il ne faut pas avoir peur. Il faut y aller. Il faut tout donner. Il ne faut pas oublier que la grande majorité des gens sont sympas et veulent décider de manière réfléchie à leur vote. En 2018, j’étais 39ème sur 45, une mauvaise place autant le dire. Mais avec beaucoup de travail, de détermination et de porte-à-porte, j’ai réussi à être élu. On a besoin de jeunes motivés car notre voix doit être entendue. Les différentes générations ne ressentent pas les difficultés de la même manière et il faut travailler de manière collégiale pour construire notre vivre-ensemble. Si tu es jeune et que tu as des questions, des interrogations, n’hésite jamais à me contacter et on discutera !

Tu le sais, on termine toujours par une petite question touristique : as-tu un endroit à conseiller à Mons ?

Je conseille l’exposition Rodin qui sera disponible au musée des beaux-arts en avril et un passage dans un des restos du centre-ville (il y a tellement de bonnes adresses que je ne peux pas en donner qu’une).