Skip to main content

Interview du weekend pour le président du Mouvement réformateur. L’occasion pour le libéral de revenir sur de nombreux sujets d’actualités à un an des élections. La réforme des pensions proposés par la ministre socialiste, le plan de relance, le statut d’indépendant, la réforme fiscale ou encore le chômage.

Réforme des pensions

“La difficulté majeure de cette proposition, c’est qu’ elle ne récompense pas le travail. La ministre, selon Georges-Louis Bouchez,  veut taxer le deuxième pilier et créer un bonus dont même les demandeurs d’emploi peuvent profiter. C’est théorique, mais si quelqu’un est resté en périodes assimilées pendant 30 ans, puis commence à travailler au moment où il peut prétendre à la retraite anticipée, il profite du bonus. Par contre, quelqu’un qui a travaillé toute sa vie et qui ne va pas au-delà, n’y aurait pas droit.

Pour nous, il faut un nombre d’années de travail effectif pour avoir droit au bonus et on ne comprend pas pourquoi le bonus s’arrête à 67 ans. Lalieux fait comme tous les socialistes, elle dit: “Je ne sais pas faire de réforme donc je prélève des taxes.”

Limitation du chômage dans le temps

“Il y a des déclinaisons possibles. Par exemple l’exclusion si on refuse deux emplois dans des secteurs en pénurie. Il y a la question de la formation, de la flexibilité dans le travail de nuit, des déductibilités fiscales dans les secteurs en pénurie, on propose un job bonus dans ces secteurs . Pour les revenus de moins de 2.300 euros net, c’est 1.500 euros par an via un abattement fiscal. C’est bizarre, pour la gauche les tabous n’existent pas, pour nous bien.”

Pour lire l’intégralité de l’interview, c’est ici