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Le président du Mouvement réformateur était l’invité, en direct, de l’émission « Jeudi en prime » sur la RTBF. Au cœur de la discussion, l’actualité en lien avec l’invitation faite par le gouvernement bruxellois à une délégation iranienne. L’occasion pour Georges-Louis Bouchez de rappeler que lorsqu’on ne commet pas de faute, on ne démissionne pas.

Depuis plusieurs jours, de nombreux partis politiques accusent la ministre des Affaires étrangères de faute dans le dossier des invitations iraniennes souhaitées par le gouvernement bruxellois. Pourtant, les accusations tenues sont infondées et ne reposent sur rien. Pour rappel, toutes les procédures ont été respectées dans l’octroi de ces visas et tous les organes concernés ont été consultés. Il y a donc de la part de certains aujourd’hui une volonté de déstabiliser le gouvernement fédéral pour une affaire qui n’en n’est pas une.

Mercredi en commission à la Chambre, la ministre des Affaires étrangères Hadja Lahbib a répondu aux questions des parlementaires, le Premier ministre a également rappelé mercredi et jeudi en séance parlementaire que toutes les procédures ont été respectées, qu’aucune faute n’a été commise et que l’incident devait être clos. Georges-Louis Bouchez est quant à lui venu sur le plateau de « Jeudi en prime » pour rappeler toutes ces vérités.

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