Skip to main content

Vice-premier ministre en charge des Classes moyennes, des Indépendants, des PME et de l’Agriculture, David Clarinval tire un premier bilan de son action au gouvernement fédéral.

La législature actuelle a dû faire face à la crise de l’énergie, et ses conséquences sur la population ainsi que sur les entreprises. Dans ce cadre, le Ministre Clarinval s’est attaché à une vision pragmatique pour le futur, notamment en cherchant à préserver la compétitivité des entreprises pour sauvegarder la résilience économique nationale (défiscalisation de l’indexation des salaires, mesures énergies) mais aussi, en continuant de se battre pour garantir la sécurité d’approvisionnement énergétique. Cela passait par une prolongation non-négociable de deux réacteurs nucléaires.

Le ministre Clarinval a également du faire face à la crise sanitaire. Dans ce cadre, il a eu une attention particulière pour les indépendants. Cette crise a débouché sur des mesures structurelles. Une réforme plus efficace et plus flexible du droit passerelle a été mise en place, pour permettre aux indépendants d’activer ce droit de manière plus rapide et automatisée.

Le Ministre a également travaillé à rendre l’entrepreneuriat plus accessible, notamment pour les personnes issues de la diversité (via un appel à projets) ou encore, pour favoriser le développement de l’entrepreneuriat féminin. Il a à ce sujet mis en place une table ronde spécifiquement focus sur l’accessibilité du financement pour les entrepreneuses. A l’issue des discussions, un Plan d’Action de 25 mesures a pu être adopté.

David Clarinval a aussi concentré une partie de son travail aux artisans : une réforme du statut d’artisan a permis de faciliter, moderniser, digitaliser et rendre plus accessibles les démarches administratives. Grâce à cette réforme, il sera par exemple possible d’exercer l’artisanat aussi comme activité complémentaire.

Enfin, le Ministre a été cette année en mesure de lever l’un des plus gros obstacles au développement de milliers de producteurs belges : la levée du « mur des 80km » en Belgique, qui empêchait les petits producteurs de produits d’origine animale (miel, fromage, charcuterie etc) de livrer leur production au-delà de 80km de leur lieu de production. Cette mesure permettra assurément à de nombreux producteurs de développer leur entreprise jusqu’à la capitale.