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Valérie Glatigny, ministre de l’Aide à la jeunesse, a participé aujourd’hui au lancement d’un cycle de quatre journées de travail dédiées à l’aide aux jeunes à la croisée des secteurs de l’aide à la jeunesse, du handicap et de la santé mentale.

Lancées en collaboration avec la Ministre Morreale, elles auront pour objectif d’aboutir d’ici juin 2022 à des balises claires afin d’offrir des prises en charge efficaces répondant adéquatement aux besoins de ces jeunes.

« Ce n’est pas aux jeunes à s’adapter aux institutions et aux découpages des secteurs et des compétences. Ce sont les institutions qui doivent s’organiser autour des besoins spécifiques de ces jeunes », souligne Valérie Glatigny.

À l’heure actuelle, les jeunes nécessitant le soutien de plusieurs services (aide à la jeunesse, handicap et santé mentale) se retrouvent en effet trop souvent confrontés à un manque de réponse coordonnée et adéquate. La Ministre Glatigny a souligné le nécessaire décloisonnement entre les différents services compétents.

« Chaque secteur seul n’est pas à même d’apporter une réponse complètement adéquate. Une coordination entre les différents services est nécessaire pour apporter à ces jeunes une réponse complètement adéquate », ajoute Valérie Glatigny.

Cette première journée de travail rassemblait les acteurs de terrain des secteurs de l’aide à la jeunesse, du handicap et de la santé mentale, ainsi que des magistrats, des avocats, le SPF Santé publique, le délégué général aux droits de l’enfant et des responsables de services et projets qui travaillent déjà avec les jeunes concernés.

Leurs échanges et travaux ont permis de définir, sur base de leurs expériences de terrain respectives, les balises essentielles à la prise en charge intersectorielle de ces jeunes en difficulté.

La deuxième journée, qui se tiendra le 10 décembre, sera l’occasion de prioriser les balises à mettre en œuvre, mais aussi de récolter la parole des jeunes concernés par cette problématique.