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Ce mardi 11 mars, Valérie Glatigny était l’invitée de Fabrice Grosfilley dans Bonjour Bruxelles. Elle est revenue sur la composition des listes électorales et la collaboration avec l’Open-VLD.

Ce lundi soir, l’assemblée générale du MR bruxellois a validé ses listes électorales. Aux élections législatives, MR et Open-VLD feront cause commune. Valérie Glatigny, ministre de l’Enseignement supérieur jusqu’à sa démission pour raisons de santé l’été dernier, emmènera les troupes libérales. Elle sera suivie du député sortant Michel De Maegd, de Youssef Handichi (ancien député bruxellois PTB, aujourd’hui converti au libéralisme et à la vision du travail défendue par le MR) et Alexia Bertrand (secrétaire d’Etat au Budget, sur quota Open VLD). Valérie Glatigny se réjouit de la diversité de cette liste. « Nous sommes en ordre de marche, avec une liste forte qui a un fort pouvoir d’attrait. On fait le choix d’attirer vers nous des personnes qui rejoignent nos valeurs ».

MR et Open-VLD figurent ensemble sur cette liste. C’est une nouveauté justifiée par les nombreux points communs entre les deux programmes des partis libéraux. La liste est le reflet de ce partenariat.  « Il y a une représentation équilibrée », déclare la tête de liste bruxelloise.

Valérie Glatigny répond également aux accusations de communautarisme, suite à l’arrivée de Youssef Handichi à la 3e place et Rachid Azaoum (ex-Engagés) à la 5e place. Valérie Glatigny dément fermement et rappelle la vision universaliste du MR. « Le MR a un programme qui n’exclut pas, mais qui inclut. Le communautarisme, c’est changer le programme pour plaire aux électeurs. Ici, ce sont des candidats qui se tournent vers nous parce qu’ils partagent nos valeurs ».

En termes de coalition possible, Valérie Glatigny a rappelé que, pour le MR, aucun accord n’était possible avec les partis extrémistes de droite (comme le Vlaams Belang) comme de gauche (le PTB). « J’ai dit qu’il fallait faire une coalition avec des gens qui ont le même programme socio-économique que nous. Ce n’est pas le cas du PTB. Nos programmes sont antagonistes », conclut-elle.

Revoir l’interview sur BX1