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Georges-Louis Bouchez est l’invité de SudInfo, De Tijd et Het Nieuwsblad ce samedi. Le président du MR est revenu sur les dernières discussions liées à la réforme fiscale. Il rappelle que le MR, via son Vice-Premier ministre David Clarinval, reste disponible pour faire baisser les impôts et que pour financer la réforme fiscale, il faut mettre plus de gens au travail.

Remettre les gens à l’emploi, pas une priorité pour la gauche

« J’assume être dans une démarche de baisse d’impôts. Nous les libéraux voulons financer cette réforme par la mise à l’emploi des inactifs, nous sommes les seuls à le vouloir. Avec la réforme présentée, la fiscalité aurait augmenté pour certains profils, les PME allaient à nouveau payer le prix cher.

Le MR est la seule formation politique qui souhaite réduire les dépense de l’État et activer les demandeurs d’emploi. La gauche ne veut pas activer les gens qui peuvent et doivent travailler. Avec leur modèle, c’est donner dans la poche droite pour reprendre dans la poche gauche » explique le président du Mouvement Réformateur.

Le MR est le seul et vrai parti qui défend les travailleurs

Georges-Louis Bouchez : « Aujourd’hui, je constate que le PS ou Parti de la Sieste, ne défend plus que les allocataires sociaux. Le MR, lui, défend les travailleurs. Nous, libéraux, n’avons jamais été autour de la table en ne voulant plus donner suite aux discussions. La gauche quant à elle, oui. Sur ce dossier, nous avons montré une unité forte.

Nous maintenons que nous sommes disponibles pour baisser les impôts en améliorant le quotidien de celles et ceux qui travaillent. A la rentrée, nous pourrons encore en parler, nous serons en conclave budgétaire, on reparlera de chiffres et budget alors pourquoi ne pas parler fiscalité ?

Contrairement à ce qui peut être dit, aucun accord sur la réforme fiscale n’avait été trouvé avant de commencer nos rencontres. D’ailleurs, avec le recul, j’ai l’impression que cela a manqué de préparation, de rencontres en bilatérales. »

La gauche et l’assistanat, même combat

« Ce n’est pas normal qu’un demandeur d’emploi paie moins d’impôts qu’un travailleur. La prime syndicale est la seule prime qui n’est pas taxée… par contre les heures supplémentaires sont taxées à 60%. Trouvez-vous normal qu’une personne qui travaille deux heures de plus pour son syndicat ne soit pas taxée mais que le brave employé qui travaillerait deux heures en plus pour son entreprise le soit ? Moi pas.

En Belgique, il y a 200 000 postes vacants. J’invite les lecteurs à se renseigner sur les taux d’emploi dans les grandes villes gérées par les socialistes. Une personne sur deux en âge de travailler ne travaille pas, il n’y a pas d’hasard.

Ce n’est pas radical de dire dans ce pays qu’il faut remettre des gens au travail. Le Conseil Supérieur de l’Emploi va même dans ce sens.

Tant que le PS gardera le tabou de l’activation des inactifs (qui peuvent travailler), je ne vois pas de possibilité d’avancer. Avec cet état d’esprit, rien de grand ne sera possible dans une coalition avec le PS sur l’emploi. Moi je me désole de voir qu’au sein du PS aujourd’hui il n’y a plus de vrais socialistes mais bien que des communistes. Le vrai patron du PS c’est Raoul Hedebouw, c’est leur boussole » conclut le président des libéraux.

Découvrez l’intégralité de l’interview dans SudInfo

 


GLB geeft interviews aan De Tijd en Het Nieuwsblad

“Ik hou niet van hervormingen van links. MR wil hervormingen die ten goede komen aan mensen die werken, investeren en sparen.”

“Consumptie duurder maken op een moment dat iedereen klaagt over de hoge winkelprijzen: dat is gewoon geen goed idee.”

“Als meer mensen werken dan kunnen we belastingen doen dalen én de begroting in orde brengen.”

“Als er bij de begrotingsopmaak van oktober opportuniteiten zijn om de lasten te verlagen: waarom zouden we het dan niet doen?”

Het zijn enkele slagzinnen uit de weekendinterviews van voorzitter Georges-Louis Bouchez in De Tijd en Het Nieuwsblad. Hij herhaalt er dat we iedereen meer nettosalaris kunnen geven, maar alleen als er veel meer mensen aan het werk gaan. Wie kan werken, moet dat doen: dat is sociale rechtvaardigheid. Anders wordt u met de linkerhand afgenomen wat u met de rechterhand is gegeven. In plaats van meer mensen aan het werk te zetten om iedereen meer nettosalaris te geven, wilde links iedereen nog meer belasten: op voeding, concert- en voetbaltickets, vliegtuigtickets, kranten, magazines, renovatie, hotels, bloemen, frisdranken, alcohol en kansspelen. Niet met de MR.

We hebben geen nieuwe belastingen nodig. Zeker niet op een moment waarop veel prijzen hoger zijn dan ooit en waarop de concurrentiekracht van onze bedrijven onder druk staat. Met alle taksen die op de tafel lagen, zouden álle mensen worden getroffen. Als de MR de zwartepiet krijgt omdat ze een liberale partij is die een fiscale hervorming niet wil betalen met nieuwe belastingen die alle mensen in hun portemonnee raken: oké daarmee. De Mouvement Réformateur blijft beschikbaar voor een hervorming die de belastingen verlaagt. We kunnen dat nog altijd doen in september en oktober bij de opmaak van de begroting voor 2024. Maar met ons geen nieuwe belastingen voor wie werkt, spaart of investeert.

 

Lees het interview in De Tijd hier

Lees het interview in Het Nieuwsblad hier