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Valérie Glatigny, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en Fédération Wallonie-Bruxelles, se réjouit du lancement de la 22ème édition du Printemps des Sciences qui se déroulera du 20 au 26 mars 2023. Le nombre d’activités sera largement augmenté par rapport aux années précédentes avec pour objectif de susciter des vocations croissantes chez les jeunes francophones – et ce grâce à un budget passant de 261.000 à 431.000 euros.

Cette semaine sera l’occasion pour les élèves des écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles de participer à de nombreuses activités au sein des Universités, des hautes écoles et du Jardin botanique de Meise. Grâce aux moyens supplémentaires débloqués, des activités seront dorénavant proposées dans les hautes écoles francophones, faisant passer les lieux potentiels de 5 à plus de 20 aux quatre coins de Bruxelles et de la Wallonie.

L’objectif ? Susciter l’intérêt des élèves pour les sciences en général et les matières dites des “STEM” (Sciences, technologies, ingénierie et mathématiques) en particulier, qui souffrent encore d’un déficit de popularité auprès des jeunes francophones et plus particulièrement des jeunes filles, mais aussi permettre aux enseignants d’enrichir leurs connaissances et à enrichir leur enseignement dans les écoles.

« Donner envie aux jeunes de s’intéresser aux sciences et d’être présents dans ces domaines d’études constitue un enjeu de taille. On connait en effet l’importance de ces secteurs pour le futur économique et social de la Wallonie et de Bruxelles. Or, trop peu de jeunes, et surtout de jeunes filles, font actuellement ce choix, alors que ces filières constituent une réelle plus-value pour la société et une passerelle vers l’emploi. Je suis convaincue que les nombreuses activités organisées dans le cadre du Printemps des Sciences 2023 permettront d’éveiller leur curiosité et de passer de l’exploration aux vocations », souligne Valérie Glatigny.