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Dans le cadre de l’arrêté ministériel, David Clarinval octroie des subsides pour 3,55 millions d’euros à la recherche scientifique en matière de sécurité alimentaire et de politique sanitaire des animaux et des plantes. Ces subsides financeront en tout 20 projets de recherche, couvrant ainsi l’ensemble de la chaîne alimentaire. Il y a ainsi 6 projets dévoués à la santé des plantes, 8 projets tournés vers la santé animale et 6 projets en lien avec la sécurité alimentaire.

Dans les arrêtés ministériels, des subsides sont prévues, d’un montant de 675 000 euros, pour 6 projets dédiés à la santé végétale. Il s’agit ici surtout de projets qui mènent des recherches sur les organismes et virus invasifs et les conséquences possibles pour, notamment, la culture et la santé de nos forêts.

D’autres subsides sont prévues dans les arrêtés ministériels, pour 1 738 000 euros, pour 8 projets centrés sur la santé animale. Dans ces projets, la recherche porte notamment sur l’utilisation d’antibiotiques et la résistance bactérienne et sur les salmonelles dans les élevages. Quelques projets se penchent également sur la présence de (corona)virus et les éventuelles conséquences pour les animaux de ferme.

Dans l’arrêté ministériel, des subsides sont prévues, pour 1 144 000 euros, pour 6 projets liés à la sécurité alimentaire. Ces projets se concentrent principalement sur la recherche à propos de l’utilisation de certains matériaux de contact, des composants spécifiques, les pesticides et leur éventuel impact sur la sécurité alimentaire.

David Clarinval : « La protection de la chaîne alimentaire va plus loin que, par exemple, réaliser des contrôles. La recherche scientifique y joue aussi un rôle essentiel. Une connaissance approfondie de tous les aspects de la chaîne alimentaire est extrêmement importante. Voici les raisons de cette décision de répartir 3,55 millions en soutien à cette recherche scientifique. »