Depuis le début de la crise Covid, le MR tient la même ligne : nous souhaitons des données objectivées pour prendre les meilleures décisions possibles, nous portons l’attention sur les besoins naturels de l’individu pour garantir l’adhésion.
Nous vivons une situation difficile et chaque décision prise se doit de respecter le triangle virus-bien-être-économie. Les derniers chiffres nous invitent à prendre des décisions fortes et de demander, encore une fois, un effort considérable à nos concitoyens.
Il faut établir des mesures NÉCESSAIRES et EFFICACES. Pas un bricolage. Il faut une pédagogie qui ramène de l’adhésion. Là est la clé. Nous avons donc plus besoin de véritables études scientifiques que d’interviews anxiogènes. On parle de la vie de millions de personnes #begov ??
— Georges-L BOUCHEZ (@GLBouchez) March 24, 2021
Un comité de concertation au goût amer
Ce nouveau #lockdown est bien évidemment un triple échec. Il est aussi regrettable que le fardeau pèse essentiellement sur la Belgique qui travaille. Il faut des données objectives pour apprendre à vivre avec le virus et surtout accélérer la vaccination. #CODECO #begov ?? pic.twitter.com/JJofirS1UM
— Georges-L BOUCHEZ (@GLBouchez) March 24, 2021
Le comité de concertation de cette semaine a laissé un goût amer dans la bouche du président du MR, Georges-Louis Bouchez, pour qui on demande injustement un effort considérable aux mêmes, à la Belgique qui travaille et qui contribue. Ces mêmes travailleurs pour qui les projets de vie sont considérablement affectés depuis plus d’un an maintenant. L’échec qu’il pointe est celui de la politique menée jusqu’à présent : nous avons perdu l’adhésion et la confiance, nous ne sommes pas assez avancés dans la vaccination, les perspectives que nous avons promis ne tiennent plus, nous avons restreint fortement les libertés pour finalement se retrouver aujourd’hui dans une situation où le danger est loin d’être écarté.
Il ne s’agit d’accuser personne mais au contraire, de reconnaître quand cela ne fonctionne pas pour pouvoir corriger et faire mieux ensuite.
C’est notre responsabilité en tant que femmes et hommes politiques.
Retrouvez son interview dans le journal Sudpresse : Georges-Louis Bouchez (MR) après le Comité de concertation: «Oui, j’ai un goût amer, ce sont les travailleurs qui supportent le plus lourd fardeau» (sudinfo.be)
Le président était également l’invité de Jeudi en prime sur la RTBF. Il a réaffirmé ses convictions, celles de de défendre sa ligne libérale et exhorté tous ceux qui voulaient soutenir les indépendants de se plier aux règles sanitaires, voire d’aller plus loin encore que ce qui est demandé. Nous avons besoin de solidarité nationale, plus que jamais !
Retrouvez l’essentiel de son passage ci-après :