Skip to main content

Le président du MR se réjouit de l’accord intervenu au sein du gouvernement fédéral dans le dossier des numéros INAMI. « Le gouvernement fédéral a validé les quotas pour 2024. Il était indispensable qu’ils soient fixés avant le début de l’année académique 2018-2019. Cette décision concerne en effet directement les étudiants qui s’inscrivent actuellement à l’examen d’entrée. Le gouvernement respecte ainsi les engagements pris l’an dernier. », déclare Olivier Chastel.

 

Dorénavant, les quotas seront déterminés par Communauté, en tenant compte de la clé de répartition fixée par la cour des Comptes. Le nombre global pour la Belgique ne figure donc plus dans l’arrêté. « Les quotas fixés pour l’année 2024 se basent sur l’avis de la commission de planification de l’offre médicale, rendu le 17 avril 2018. Cet avis tient compte de la clé de répartition déterminée par la Cour des Comptes : 59,43 % pour la Communauté flamande et 40,57% pour la Communauté française », explique Olivier Chastel.

 

Le président du MR salue une décision qui respecte l’engagement pris par le gouvernement fédéral en 2017. « L’accord conclu à l’époque est respecté puisque tous les étudiants qui sortiront cette année, année de la double cohorte, auront un numéro Inami. De plus, il n’y a jamais eu autant de numéros disponibles pour les francophones : 505 au lieu de 492, qui était le quota depuis 2015 », déclare Olivier Chastel.

 

La durée du lissage négatif sera suffisamment longue pour garantir à long terme une offre de médecins suffisante en Fédération Wallonie-Bruxelles. La pérennité des cinq facultés francophones de médecine est également assurée. « Le système mis en place par le gouvernement fédéral est d’une grande stabilité. Il garantit l’offre et la qualité des soins de santé en Belgique et en Fédération Wallonie-Bruxelles, tout en garantissant le respect du bien-être des étudiants », conclut Olivier Chastel.