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Georges-Louis Bouchez a donné une interview au quotidien Sud Presse centrée sur l’énergie, le libéralisme, la justice et la démocratie.
Le président du MR défend avec ferveur les valeurs du libéralisme.

L’objectif principal du parti est de représenter la classe moyenne, mais également la classe populaire : « C’est facile d’avoir les mains propres en considérant que l’on ne doit pas s’adresser à une partie de la population car ils voteraient mal ou n’auraient pas les idées consensuelles. Les libéraux, eux, abordent les dossiers majeurs comme le pouvoir d’achat, les pensions, la récompense du travail, les libertés individuelles ». Toutes ces problématiques qui touchent directement les citoyens.

Avec la crise sanitaire, certains citoyens ont exprimé leur opposition à l’encontre du vaccin. Ils sont parfois désignés comme étant des complotistes, car leurs opinions vont à l’encontre des normes de la société. Il faut convaincre et respecter au lieu de blâmer et dénigrer.

Toujours sur ce thème, le MR demande la disparition du CST au printemps ou au début de l’été et ne plus revenir ensuite. Cela doit être une courte parenthèse en démocratie.

La question de la démocratie ainsi que de la liberté est fondamentale, « Il ne suffit pas de s’autoproclamer démocrate pour l’être ».

L’énergie a également fait partie des sujets principaux de cette rencontre.

Afin de faire face à l’augmentation du prix de l’énergie, le Mouvement Réformateur, propose le principe du cliquet ristourne qui revient directement dans la poche des citoyens. Si le prix de l’énergie augmente de 10%, l’État rend tout ou partie de la hausse par une réduction sur la facture. Cela vaut pour les particuliers et les entreprises.

Enfin, après les terribles actes que notre Pays a connu, le MR réclame que la réclusion à perpétuité soit réellement à perpétuité.
Il y a des actes qui font que vous quittez la communauté humaine. On ne s’en prend pas à des enfants, c’est indépassable.
Par ailleurs, toute les peines, même les plus courtes doivent être purgées !

Découvrez l’interview dans Sud Presse