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Après une jeunesse rythmée par les activités de la cité aclote, Germain Dalne s’est lancé en politique à Nivelles aux côtés de Valérie De Bue et de Pierre Huart.

En 2021, il devient échevin en charge des Finances, des Sports, de la Smart city, des Cultes et de la Santé.

Il est également devenu le président de la Fédération des Jeunes MR du Brabant wallon.

 

 

Après une courte expérience politique, te voilà à 23 ans le plus jeune échevin du Brabant wallon, trouves- tu tes marques au Collège?

J’ai effectivement débuté mon engagement politique en 2016, avant d’être élu aux élections communales de 2018, et ensuite de devenir échevin à Nivelles en septembre 2021. En arrivant à cette fonction, je me suis directement plongé dans mes attributions ce qui m’a permis de maîtriser assez rapidement mes dossiers. Par ailleurs, je travaillais déjà avec mon prédécesseur dans mes attributions actuelles ; je ne débarquais donc pas tout à fait dans l’inconnu.

Tu as fait le choix de devenir échevin à temps plein, comment se passe ton quotidien ?

Cela dépend bien sûr des semaines mais les journées sont assez bien chargées entre les réunions politiques, l’analyse des dossiers mais aussi le travail avec l’administration ou encore les visites et rencontres de terrain ! Ce qui est passionnant c’est qu’en plus de nos attributions respectives, nous traitons de sujets très variés au sein du Collège communal.

Quels seront tes dossiers prioritaires ?

Au niveau de notre politique sportive, nous sommes pleinement investis dans la rénovation de notre stade d’athlétisme qui verra sa piste passer de six à huit couloirs ! Ce projet s’inscrit dans une réflexion plus globale liée à l’organisation des Jeux olympiques de Paris en 2024. J’ai également repris la thématique de la ‘Smart city’ grâce à laquelle je souhaite que Nivelles fasse partie des villes exemplaires en la matière au moyen de projets innovants et surtout au service de toutes et de tous.

Quels seront les principaux défis que tu devras relever ?

Je pense qu’au delà des dossiers que nous avons à gérer, il faut aussi attacher de l’importance à la manière avec laquelle on les porte. De ce point de vue, il me semble essentiel de travailler à des projets qui rencontrent l’intérêt général en étant toujours attentifs aux considérations budgétaires et environnementales des décisions que nous prenons.