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Les Jeux olympiques et paralympiques comptent parmi les plus grands événements sportifs au monde. L’édition 2024, qui se tiendra à Paris entre le 26 juillet et le 11 août, ne dérogera pas à la règle. Une opportunité unique de faire rayonner notre territoire, c’était donc le moment idéal pour publier un cadastre des infrastructures sportives de haut niveau communs à la Fédération Wallonie-Bruxelles et à la Wallonie. Un outil présenté ce matin par le Ministre-Président Pierre-Yves JEHOLET et le Ministre des Infrastructures sportives Adrien DOLIMONT.

En tant que représentants d’un territoire situé à deux pas de la capitale française, les ministres francophones et wallons ont souhaité profiter de l’opportunité que représentent les Jeux pour offrir le meilleur aux délégations sportives dans le cadre de leur préparation. La Wallonie et Bruxelles disposent en effet d’infrastructures modernes et confortables, à 1h30 de Paris, permettant la préparation des sportifs de haut niveau, qu’ils soient belges ou étrangers.

Dès lors, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Wallonie mettent leurs centres sportifs à disposition pour permettre à toute délégation de bénéficier des conditions optimales de préparation aux compétitions internationales. Cela permettra aux sportifs et à leur entourage de tirer pleinement parti de la proximité géographique des Jeux olympiques et paralympiques mais également des infrastructures sportives de haut niveau.

Les sportifs pourront ainsi boucler leur préparation dans 28 sites implantés aux quatre coins de la Wallonie et de Bruxelles. Citons par exemple Louvain-la-Neuve qui accueillera l’athlétisme et le tennis à la Justine Henin Academy, Loverval qui hébergera l’escalade, sans oublier le football qui bénéficiera des infrastructures du centre d’entrainement des Diables Rouges à Tubize. Bruxelles sera également un point central avec la présence du centre Adeps d’Auderghem pour le hockey.

Depuis des années, nos infrastructures sont appréciées au-delà de nos frontières puisque des délégations étrangères y séjournent régulièrement en stage.

Et pour cause, s’entraîner dans nos infrastructures sportives, c’est :

  • Disposer d’infrastructures répondant aux exigences techniques de haut niveau de plusieurs disciplines sportives ;
  • Bénéficier de stages d’acclimatation aux conditions nord-européennes ;
  • Profiter d’une alimentation adaptée aux besoins spécifiques des sportifs de haut niveau ;
  • Accéder à un support humain de proximité ;
  • Découvrir nos richesses culturelles et gastronomiques ;
  • Se préparer à accomplir des performances, en toute confiance ;
  • Soutenir des projets sportifs structurants.

Le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles en charge des Sports, Pierre-Yves Jeholet : « Les Jeux de Paris en 2024 constituent une opportunité unique de faire rayonner notre territoire et ses infrastructures à travers le monde. La Wallonie et Bruxelles offrent aux athlètes belges et internationaux des installations modernes et qualitatives pour s’acclimater et préparer les Jeux dans des conditions optimales, à seulement 1h30 de Paris. La Fédération Wallonie-Bruxelles a d’ailleurs amplifié son soutien à ces infrastructures ces dernières années tout en augmentant le nombre de contrats pour nos sportifs de haut niveau et ces conditions favorables d’entraînement ont très certainement contribué aux excellents résultats de nos sportifs lors des dernières compétitions internationales. Nul doute que les performances de nos sportifs professionnels aux JO de 2024 seront à la hauteur de nos espérances. En tout cas, nous nous en donnons les moyens ! » 

Le Ministre des Infrastructures sportives de la Wallonie, Adrien Dolimont : « Depuis le début de cette législature, la Wallonie a investi plus que jamais dans ses infrastructures sportives. Le projet Wallonie Ambitions y a d’ailleurs largement contribué. Même si l’objectif premier reste bien entendu d’améliorer la qualité des infrastructures afin de mettre les athlètes wallons dans des conditions d’entraînement optimales en vue de leurs prestations sur la scène internationale, la Wallonie ne s’est jamais cachée de vouloir être une terre d’accueil de certaines délégations olympiques, en amont des JO de Paris 2024, afin que notre Région puisse profiter des retombées positives de la compétition tant sur les plans sportif, économique que touristique. »