Skip to main content

Georges-Louis Bouchez et Denis Ducarme ont visité mardi la prison de Mons. Le président du MR et le député fédéral répondaient à l’invitation du syndicat Sypol EPI. La situation à la prison de Mons, l’une des plus vieilles du pays, est compliquée tant d’un point de vue des conditions d’incarcération que de salubrité du bâtiment.

« Il ne faut pas laisser les détenus se tourner les pouces en prison »

Le constat que partagent Georges-Louis Bouchez et Denis Ducarme après deux heures de visite en prison est incontestable : il ne faut pas laisser les détenus se tourner les pouces en prison.

« Si l’on veut mener une vraie politique criminelle, il faut des prisons qui punissent mais aussi qui préparent à la réinsertion car tous ces détenus finiront par sortir. Or, ce n’est pas par l’oisiveté qu’on se réinsère dans la société. Il faut que ces détenus travaillent. Et pour cela, il faut de l’espace suffisant en prison et un bon encadrement » a déclaré Georges-Louis Bouchez.

« À Mons, seulement 80 détenus travaillent sur un total de 400. Moi, je veux que l’on arrive à un taux de 80 à 90 % de détenus qui travaillent ! Les ateliers de menuiserie en sous-sol, par exemple, ne peuvent accueillir que 2 ou 3 détenus à la fois, tout est trop petit. L’infrastructure actuelle favorise l’oisiveté ».

Pour lire l’article en entier