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Le gouvernement fédéral a décidé d’apporter un soutien important aux familles monoparentales.

Soutien pour la garde d’enfants

Ce soutien concerne les familles monoparentales ayant de faibles revenus, pour la garde de leurs enfants de moins de 12 ans. Il se traduit concrètement par l’augmentation du montant maximal (11,2 EUR par jour/enfant) pris en compte pour la réduction fiscale fédérale « garde d’enfants ». La mesure s’applique aux contribuables isolés ayant un faible revenu professionnel et des enfants de moins de 12 ans à charge. Il passera de 45 à 65%. Cela concerne les frais de crèche, de garderie, de stages et les activités parascolaires. Ces frais doivent être facturés par des organismes agréés par l’ONE ou subsidiés par les pouvoirs locaux.

Florence Reuter, présidente des Femmes MR, se réjouit de cette mesure. « Les femmes seront les principales bénéficiaires de cette mesure ». « Ce soutien financier va les aider à sortir de l’isolement. Il facilitera leur accès à l’emploi et permettra ainsi de lutter contre la pauvreté ».

Engagés pour les femmes

« Le gouvernement fédéral tient compte de toutes les situations », souligne Florence Reuter. « Les femmes sont nombreuses à travailler à temps partiel. Elles ne paient parfois pas d’impôts car leurs revenus professionnels sont trop faibles. Celles-ci bénéficieront aussi de cette mesure via un crédit d’impôt. ».

Pour la présidente des Femmes MR, le gouvernement fédéral de Charles Michel démontre une nouvelle fois qu’il est engagé en faveur des femmes. « Cette mesure s’ajoute en effet à la hausse de l’avantage fiscal pour les parents isolés à bas revenu. Elle permettra aux contribuables concernés de bénéficier d’un avantage fiscal entre 24 et 55 euros net mensuel.  Le gouvernement fédéral tient ainsi compte de l’évolution de la société. Les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles font face à des difficultés spécifiques dont les femmes sont souvent les premières victimes. Ces décisions renforcent donc la cohésion sociale et la liberté des femmes », conclut Florence Reuter.