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Il est primordial de former rapidement un Gouvernement fédéral pour des questions budgétaires. Pour Georges-Louis Bouchez, sénateur coopté par le MR, la politique doit s’effectuer sans rancoeur. En effet, les exclusives empêchent une bonne gouvernance. De plus, pour le MR, l’enseignement et le développement économique sont des thématiques majeures.

Eviter la rancoeur pour mieux gouverner

Tout d’abord, pour Georges-Louis Bouchez, la majorité MR-PS-Ecolo en Wallonie est une alliance de responsabilités. En effet, il n’y a pas d’autres possibilités (le CDH et le PTB se sont retirés).

Ensuite, selon le sénateur, la politique doit s’effectuer sans rancoeur. En effet, garder des rancunes au niveau régional et fédéral empêche une bonne gouvernance et d’avancer correctement.

Enfin, l’objectif des négociations est de trouver des convergences parmi les différences. Ces convergences sont nécessaires pour avancer dans l’interêt des Wallons. “L’accord sera le fruit de compromis entre nous. Nous aurons fait des concessions sur des choses qui nous paraissent concédables. Mais nous n’aurons pas cédé sur des choses qui nous paraissent indispensables.

Enseignement: des éléments doivent changer

L’enseignement est une priorité pour le MR. Pour Georges-Louis Bouchez, l’enseignement francophone doit subir plusieurs réformes. En effet, la pénurie de professeurs n’est pas acceptable. De plus, actuellement, plus de 150 élèves n’ont pas d’école secondaire.

Un équilibre entre le développement économique et la protection de l’environnement

Il est primordial de trouver un équilibre entre le développement économique et la protection de l’environnement. C’est grâce au développement économique que l’on pourra financer la transition énergétique et climatique.

Au niveau fédéral, Georges-Louis Bouchez appelle les partis à faire preuve de responsabilités. Les exclusives sont négatives pour le pays.

Budget: former rapidement un Gouvernement

En 4 ans, le déficit budgétaire a été réduit par 4. Il passe de 3,2% du PIB à 0,7%. Depuis la chute du Gouvernement en décembre 2018, deux phénomènes sont arrivés. Premièrement, suite au départ de la N-VA, le budget 2019 n’a pas pu être voté. Ce dernier contenait une série de mesures pour continuer à réduire le déficit budgétaire. Deuxièmement, la crise actuelle empire la situation. En effet, Bruno Colmant, fiscaliste et économiste, explique que la crise coûte quotidiennement 2 millions d’euros à l’économie belge. Autrement dit, la formation rapide d’un Gouvernement fédéral est primordiale.

 

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