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Le président du MR Olivier Chastel le rappelle. Le MR a déjà clairement pris position en matière de décumul des mandats.

« A tous les niveaux de pouvoir, nous plaidons depuis des années pour l’application de la règle européenne. Celle-ci interdit le cumul dans les villes de plus de 50 000 habitants. Nous avons déjà déposé des textes en ce sens. Pour le MR, cette règle a le mérite de la clarté et de la lisibilité pour les citoyens. Mais nous restons attachés à un certain ancrage local de nos parlementaires », déclare Olivier Chastel.

Renforcer le choix de l’électeur

Olivier Chastel rappelle que le MR est également en faveur de la suppression du système de suppléance et de l’effet dévolutif de la case de tête. « En supprimant ces éléments techniques, on renforce la liberté de choix de l’électeur », estime le président du MR.

Comme Olivier Chastel l’a déjà dit, le MR plaide également pour une rationalisation des structures et une réduction du nombre de mandataires, l’objectif étant de rendre nos institutions plus efficaces. « A Bruxelles comme en Wallonie, des rationalisations, des fusions, des regroupements sont possibles et entraîneront inévitablement des économies d’échelle », affirme Olivier Chastel. « A Bruxelles, nous plaidons également pour la suppression d’un mandat d’échevin par commune, comme la Wallonie l’a déjà fait voici quelques années ».

Le président du MR rappelle enfin qu’en interne, il a limité à trois le nombre de mandats rémunérés qu’un élu MR peut détenir en plus de son mandat originel. « Pour le MR, il est également temps de mettre un terme à l’opacité qui entoure les structures subventionnées par les pouvoirs publics et qui sont encore considérées aujourd’hui comme privées. Il est impératif qu’elles rentrent dans le champ des structures publiques et fassent l’objet d’une transparence totale », conclut Olivier Chastel.