Un an après les élections régionales, Bruxelles reste sans gouvernement, une situation préoccupante pour la capitale qui s’enfonce chaque jour un peu plus à cause de la gestion désastreuse de la gauche. Le Mouvement Réformateur prend à nouveau l’initiative ce vendredi en réunissant les partis prêts à avancer.
Malgré l’absence de DéFI et Ecolo, qui refusent de participer en raison de la présence de la N-VA et de l’absence de majorité francophone, le MR ne se résigne pas. Georges-Louis Bouchez, président du parti, rappelle que « si chacun pose ses propres veto, rien n’avance ». Le MR propose un compromis constructif et vise une majorité parlementaire solide, sans exclure aucun parti démocratique.
Sortir de l’immobilisme
Pour le MR, l’urgence est de former un gouvernement capable de répondre aux défis économiques et sociaux de Bruxelles. Le Président du MR souligne que la politique du blocage ne mène nulle part et que seul un dialogue ouvert permettra de trouver une solution. « Nous n’allons pas fuir nos responsabilités. Nous voulons écouter, échanger et aboutir à un accord », affirme-t-il.
À l’heure où certains préfèrent la surenchère des conditions, le MR est prêt à offrir à Bruxelles un gouvernement stable, efficace et tourné vers l’avenir !