Portée par le ministre de l’Intérieur Bernard Quintin et inscrite dans l’accord de gouvernement Arizona, la fusion des 6 zones de police bruxelloises en une seule zone unifiée est désormais en voie de réalisation.
La criminalité ne s’arrête pas aux frontières administratives. Bernard Quintin a rapidement présenté ce projet aux bourgmestres bruxellois, et l’accord gouvernemental l’a consacré.
La nouvelle zone constituera la plus grande zone de police de Belgique, réunissant 6.500 agents opérationnels et 1.000 agents logistiques. Sous un commandement unique, ces effectifs déploieront une action cohérente et réactive face aux menaces urbaines modernes, à la criminalité organisée et aux bandes urbaines. Une meilleure gestion lors des grands événements bénéficiera aussi aux habitants et aux 400.000 navetteurs quotidiens.
Le modèle libéral préserve la proximité. La nouvelle structure sera dirigée par un Collège de police composé des 19 bourgmestres bruxellois, garantissant une représentation démocratique locale. Des normes minimales protègent la présence de proximité : un agent de quartier pour 2.000 habitants. Les silos administratifs disparaîtront sans éloigner la police des citoyens.
Cette réforme génère des économies d’échelle : environ 2 millions d’euros provenant de la suppression des structures redondantes seront entièrement réinvestis en sécurité de terrain. Un soutien financier de 55 millions d’euros sur 5 ans accompagne cette transformation structurelle.
La zone unique bruxelloise sera créée un an après l’adoption de la loi au Parlement fédéral. Le projet prévoit également des incitants pour encourager les fusions volontaires à travers le pays avant décembre 2029. Cette réforme incarne les valeurs du Mouvement réformateur : efficacité administrative, bonne gouvernance et confiance dans les structures responsables. Bruxelles se dote d’une police modernisée, réactive et attachée à la proximité. Le Mouvement réformateur continue d’agir pour la Belgique que les citoyens méritent.




