La conseillère communale et vice-présidente du CPAS d’Anderlecht, Marcela Gori, souhaite que les élus, conseillers communaux, échevins et bourgmestres, maîtrisent au moins le français ou le néerlandais afin de garantir une gestion efficace et une communication directe avec les citoyens.
« On ne gère pas une commune avec Google Traduction. Les responsables politiques doivent pouvoir comprendre les décisions qu’ils prennent et les textes qu’ils défendent », explique Marcela Gori.
Cette proposition, largement relayée dans la presse ces derniers jours, fait suite au cas d’un échevin molenbeekois en difficulté linguistique. Pour le Mouvement Réformateur, elle illustre la nécessité de ramener le respect des institutions, la compétence et la proximité avec les citoyens au cœur de la vie politique locale.
À travers cette initiative, Marcela Gori réaffirme une conviction libérale : une démocratie efficace passe par des représentants capables de comprendre et de dialoguer dans la langue de leur commune.