Georges-Louis Bouchez a salué la lucidité de la nouvelle note stratégique de sécurité de la Maison Blanche, signée par le président Donald Trump. Pour lui, ce document pointe sans détour les faiblesses européennes : désindustrialisation, sous-investissement dans la défense, surfiscalité et surrèglementation, qui affaiblissent notre compétitivité et notre poids géopolitique.
Il partage également le diagnostic sur le risque d’“effacement civilisationnel” de l’Europe : une immigration mal maîtrisée et une idéologie “woke” qui culpabilise l’affirmation de notre identité menacent nos valeurs communes, issues de la Grèce antique, de Rome, de l’Humanisme, des Lumières et de l’héritage judéo-chrétien. Défendre ces racines, fixer des conditions claires à l’intégration et faire respecter nos règles en Belgique, ce n’est pas exclure, c’est protéger le projet commun.
Pour le MR, cette note n’est pas une attaque contre l’Europe, mais un électrochoc à saisir comme un levier de réforme. Réindustrialisation, politique migratoire maitrisée, renforcement de la défense, allègement des charges et de la bureaucratie : l’Europe dispose de tous les atouts pour rebondir si elle rompt avec le triple carcan de la surfiscalité, de la surrèglementation et du socialisme. Il est “minuit moins une” : l’heure est à l’action, pas à l’indignation de façade.



