À la veille du 21 juillet, Georges-Louis Bouchez a accordé une interview à La Dernière Heure pour dresser le bilan d’une année de réformes majeures portées par le MR. « La Belgique vit un basculement historique » : réforme du Forem, activation renforcée des demandeurs d’emploi, fin de l’inactivité à vie, suppression de la loi de 2003, fusion des zones de police, durcissement de la déchéance de nationalité… « Une vague de mesures concrètes qui tiennent nos promesses et font bouger le pays ! »
Georges-Louis Bouchez insiste sur la baisse sans précédent de l’impôt sur le travail : 5 milliards d’euros rendus aux travailleurs. « On restaure le pouvoir d’achat, on lutte contre la fuite des talents, on rend la Belgique plus moderne et plus attractive. » Pour le Président du MR, l’urgence est d’aller plus loin : « Plus les élections approchent, plus les réformes seront difficiles à réaliser. Il faut mettre en œuvre et expliquer nos mesures. Nous brisons des tabous, la gauche n’osera pas revenir en arrière et remettre le chômage à vie dans son programme électoral de 2029. »
Le président du MR alerte aussi sur la nécessité de contrôler mieux nos dépenses publiques : « Notre problème n’est pas la recette mais la dépense. Trop d’État, trop de règles : il faut libérer les énergies, simplifier la vie des entreprises et recentrer l’État sur ses missions essentielles. » A ce propos, il explique « le meilleur moyen de détruire la sécurité sociale, c’est d’être socialiste ! »
Enfin, sur la dynamique insufflée par le futur Premier ministre : « Le fait d’avoir Bart De Wever en tant que Premier ministre est le meilleur vecteur pour la Belgique pour ne pas se diviser. Nous sommes dans un pays qui se met enfin en mouvement ! Il est le Premier ministre d’un gouvernement réformateur. »
