Dans une Belgique trop souvent fragmentée, les résultats de l’enquête menée par BPACT pour la RTBF, la VRT et De Standaard révèlent un signal fort des citoyens : ils cherchent des personnalités politiques capables de rassembler, de dépasser les frontières communautaires et idéologiques. Et parmi les rares figures à émerger de cette étude, une se distingue particulièrement : Georges-Louis Bouchez. Le président du Mouvement Réformateur s’impose comme un leader national, cité dans les trois régions du pays, un fait rare dans le paysage politique belge actuel.
En Wallonie, il est tout simplement la personnalité politique la plus citée par les électeurs, avec 7,6 % des sondés affirmant qu’il est celui qui les représente le mieux.
À Bruxelles, il occupe la troisième place, juste derrière Raoul Hedebouw et Bart De Wever.
Et en Flandre, région réputée difficile pour les personnalités francophones, il figure à la seizième place, devant plusieurs leaders flamands. Cette reconnaissance reflète une capacité à parler à tous les Belges, au-delà des appartenances linguistiques ou politiques.
Dans un pays où plus d’un tiers des électeurs ne se reconnaissent plus dans aucune personnalité politique, son positionnement trouve un écho croissant. Travail, méritocratie, innovation, liberté : ses messages résonnent autant auprès des jeunes actifs que des indépendants, des enseignants que des entrepreneurs.
Mais au-delà des idées, c’est son style qui séduit : direct, franc, accessible. Il débat, il répond, il assume. Il n’a jamais craint de confronter ses idées à celles des autres, de défendre sa vision même face aux critiques. Cette constance dans l’engagement, cette clarté dans la ligne politique, sont aujourd’hui reconnues et saluées par une part croissante de l’électorat belge.