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Avant même l’ouverture du congrès, une rencontre s’est tenue entre Georges-Louis Bouchez, le Premier ministre français Gabriel Attal, et plusieurs CEO de grands groupes français présents en Belgique. Une manière forte d’ancrer ce 1er mai sous le signe du dialogue économique, du réalisme et du soutien au monde de l’entreprise.

Oui, nous soutenons ceux qui créent la richesse. Défendre les entreprises, ce n’est pas défendre « les riches », c’est soutenir ceux qui font tourner notre économie.

Le Président du MR et le secrétaire général de Renaissance assument une différence majeure avec les partis de gauche : ils ne nourrissent pas la haine de la réussite. Bien au contraire, ils revendiquent un soutien clair à ceux qui entreprennent, investissent, épargnent et créent de l’emploi.

Ce message tranche avec les discours culpabilisants tenus par une gauche qui continue de désigner les entrepreneurs comme des boucs émissaires. Georges-Louis Bouchez et Gabriel Attal ont une autre vision : celle d’une société où la réussite individuelle, lorsqu’elle bénéficie au collectif, doit être encouragée, pas stigmatisée.

En cette journée symbolique du 1er mai, le Mouvement Réformateur rappelle que le progrès social ne se construit pas contre les entreprises, mais avec elles. Que l’investissement privé est indispensable à la prospérité collective. Et que la liberté d’entreprendre est une condition essentielle à la création d’emplois durables.