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Le courage politique, ce n’est pas d’ajouter des taxes. C’est d’oser transformer notre pays et de récompenser enfin celles et ceux qui, chaque jour !

Voilà le sens du message exprimé récemment par notre président, Georges-Louis Bouchez, lors de sa dernière intervention à la Chambre.

En 8 mois, sous l’impulsion du Mouvement Réformateur, ce gouvernement a engagé plus de réformes concrètes que les partis de gauche n’en ont défendu en 30 ans. Georges-Louis Bouchez l’a rappelé avec force : il n’y a pas de fatalité, mais du volontarisme, car la réforme est le seul chemin pour restaurer le travail et garantir une juste valorisation de chacun.

Taxer, c’est céder à la facilité, c’est perpétuer les erreurs d’un demi-siècle d’immobilisme. Mais réformer, c’est assumer le devoir et la responsabilité de préparer le redressement du pays, en luttant contre le gaspillage public, les fausses allocations et l’inactivité de ceux qui pourraient travailler. Notre plan est d’atteindre les objectifs budgétaires sans nouvelles taxes, sans saut d’index, sans augmentation de TVA.

« Oui, nous proposons des réformes beaucoup plus révolutionnaires que beaucoup d’autres partis. Taxer, c’est la solution de facilité… Ce n’est pas ainsi qu’on attire des investissements ou qu’on récompense ceux qui créent la valeur. »

C’est pourquoi nous continuerons à travailler sans relâche pour que le budget soit au service de celles et ceux qui font avancer la Belgique. Les réformes qui sont portées par le MR sont le vrai moteur du changement : pour une Belgique plus forte, plus juste et plus fière de celles et ceux qui construisent l’avenir au quotidien.

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