Skip to main content

En marge de la manifestation de ce mardi 14 octobre, le ministre de l’Économie et de l’Emploi s’est exprimé dans les pages du journal L’Avenir. L’occasion d’adresser un message aux manifestants et de démonter les mensonges diffusés par la FGTB.

Le ministre a rappelé à quel point la situation budgétaire est catastrophique et exige des décisions fortes. Il s’agit en effet de mener des réformes ambitieuses pour favoriser l’emploi, préserver la compétitivité de nos entreprises et protéger la sécurité sociale.

David Clarinval constate que les syndicats manipulent les informations et diffusent des fake news sur le travail de nuit, le malus pension ou le pouvoir d’achat.

Exemple, sur le malus pension, les syndicats clament que les travailleurs vont perdre jusqu’à 500 euros par mois. Or, rien n’est encore finalisé et les congés de maternité sont bien pris en compte dans le calcul de la pension anticipée.

Les syndicats prétendent également que l’indexation automatique est menacée alors que pour David Clarinval et le MR, il n’est pas question d’y toucher. Les syndicats serinent également que les salaires seront bloqués pourtant, grâce à la loi de 1996 combinée à l’indexation, les salaires augmenteront en moyenne de 5,5 % entre 2025 et 2026.

Sur la réforme du travail de nuit, la FTGB assène que le gouvernement étend le travail de nuit sans concertation. Le ministre Clarinval rappelle qu’une concertation a bien eu lieu et que cette réforme ne concerne que les nouveaux contrats, afin de créer de l’emploi et attirer des entreprises. Les infirmières ou cheminots ne sont pas concernés et ne perdront rien.

Des clarifications bienvenues pour permettre aux citoyens de comprendre les enjeux et d’évaluer le rôle toxique des syndicats.

Lire l’article