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Chaque année, des milliers de personnes tombent victimes du trafic d’êtres humains en Europe. Selon les chiffres récents, plus de 10.700 victimes ont été enregistrées dans l’Union européenne en 2023, près des deux-tiers étant des femmes ou des filles.

Pour Sophie Wilmès, vice-présidente du Parlement européen, ce constat est inacceptable. L’Europe ne peut pas tolérer que des femmes, des hommes et des enfants soient traités comme des marchandises, exploités par des réseaux criminels organisés.

Face à ce fléau, Sophie Wilmès plaide pour un renforcement de l’action européenne, par exemple via un soutien à Europol dans ses missions de lutte contre la criminalité organisée afin de pouvoir identifier les auteurs, secourir les victimes et démanteler les réseaux.

Récemment, Europol a mené des opérations d’ampleur grâce à des technologies de pointe et à un renforcement de la coopération policière au niveau européen, permettant l’identification de nouveaux réseaux et la protection de nombreuses victimes.

Sophie Wilmès s’engage activement sur ce dossier au Parlement européen, déterminée à faire avancer la lutte contre ce fléau.