Bientôt, une seule zone de police couvrira l’ensemble des 19 communes bruxelloises.
Portée par le ministre de l’intérieur Bernard Quintin, notre président de parti Georges-Louis Bouchez et soutenue dans l’accord de gouvernement fédéral Arizona, cette réforme vise à offrir plus de sécurité, moins de dépenses publiques et une efficacité accrue.
Grâce à la fusion, 6 500 agents opérationnels et 1 000 agents logistiques œuvreront chaque jour au service de la citoyenneté bruxelloise, sous un commandement unique, garant d’une action cohérente et réactive face aux défis sécuritaires actuels.
Cette réorganisation va bien au-delà d’une simple centralisation : elle permet de mieux lutter contre l’insécurité, le crime organisé, les bandes urbaines et d’assurer une gestion professionnelle lors de grands événements.
Surtout, elle garantit le maintien et le renforcement d’une police de proximité sur tout le territoire, accessible et au plus proche des habitants, grâce à la suppression des silos administratifs.
Les économies générées, notamment celles issues de la disparition des conseils de police (2 millions d’euros), seront entièrement réinvesties dans la sécurité de terrain : plus de patrouilles, d’effectifs et de matériel, conformément à la promesse du MR.
Par cette réforme inscrite dans la logique de l’accord Arizona, Bruxelles s’arme contre le gaspillage institutionnel et fait le choix d’une police enfin recentrée sur ses missions essentielles, modernisée et attachée à la proximité avec les citoyens.
Plus qu’un changement de structure, il s’agit d’un engagement fort : faire de Bruxelles une capitale exemplaire en matière de sécurité, où l’unité d’action et la qualité du service policier font la différence au quotidien.