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Le président du MR était l’invité de la matinale de BX1 ce lundi matin. Au programme, Bruxelles, les jeux de hasard, conflits armés …

L’ensemble des listes électorales pour le scrutin régional et fédéral ont été déposées il y a quelques jours. L’occasion de revenir sur la composition de ces listes et notamment les bruxelloise. Georges-Louis Bouchez rappelle qu’à Bruxelles, nos listes sont excellentes. L’équipe en place fait et fera parfaitement le boulot. Le MR sera le premier parti dans la capitale. Si c’est le cas, la ministre-présidence bruxelloise devra être MR.

Depuis 20 ans, le MR est dans l’opposition à Bruxelles, et ça se voit ! « Il ne faut pas refinancer Bruxelles mais mieux la gérer ! Elle est trop financée pour le moment. Bruxelles est en déficit car elle est gérée par des incapables. Aimer la Région bruxelloise c’est se rendre compte de tous ses atouts. Chaque année, ce sont des millions qui sont gaspillés. A la fin, cela représente des milliards. »

Sur les jeux de hasard, « On doit encadrer les jeux de hasards. Interdire la pub c’est excessif, il y a moyen de jouer de manière modérée. On peut réguler les paris gratuits, les ventes couplées… Avec cette législation, les opérateurs illégaux pourront faire leur pub en Belgique tandis que les opérateurs légaux, eux, ne pourront pas le faire. »

Enfin, cette interview aura été l’occasion de rappeler à quel point nationalistes flamands et socialistes francophones ne font qu’un : « Aujourd’hui, Bart De Wever a fait son choix, celui de Paul Magnette. Sachez que voter PS c’est voter NVA et inversement. Ils vivent une véritable love story à deux. Voter PS et NVA c’est voter la diminution de la Belgique, un danger pour le pays, un morcellement. »

Pour terminer cette interview, il n’était pas envisageable de ne pas évoquer le cas Conner Rousseau : « Les Socialistes n’ont plus aucune leçon à donner dans la lutte anti-raciste. Ils sont décrédibilisés, salis. Si un politique faisait pareil au sein de notre parti frère, l’Open VLD, je ne ferai plus de liste commune avec eux. Cela prouve bien une chose, la police de la pensée est bien de gauche dans notre pays, il est plus facile d’être de gauche, que de droite. »

 

Revoir l’interview sur BX1