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Le président du MR Olivier Chastel dénonce la duplicité du président de Défi, qui se revendique pourtant libéral.

« Depuis l’été dernier, Olivier Maingain démontre surtout son attachement au Parti socialiste. Défi n’a pas saisi la possibilité qui était offerte de proposer aux bruxellois et aux francophones une authentique alternance. Cette alternance passait par la constitution de majorités sans le Parti Socialiste à ces deux niveaux de pouvoir. Il est difficile de se revendiquer libéral dans ces conditions ».

Des gouvernements vraiment libéraux

Olivier Chastel est fier du bilan libéral des gouvernements dont fait partie le MR. « Au niveau wallon, la bonne gouvernance, l’emploi et l’augmentation du pouvoir d’achat sont enfin au centre des préoccupations. C’est le fruit du travail du gouvernement de Willy Borsus. Au fédéral, le gouvernement de Charles Michel œuvre à l’émancipation du plus grand nombre. Il y parvient à travers le soutien à la création d’emploi et l’augmentation du salaire net grâce au tax shift, qui fera à nouveau sentir ses effets positifs à la fin de ce mois. Les allocations sociales les plus basses, comme les pensions minimums ou le revenu d’intégration sociale, n’ont jamais autant augmenté que sous ce gouvernement ».

Pour Olivier Chastel, ce libéralisme se ressent aussi dans la politique migratoire du gouvernement fédéral. Le gouvernement perpétue la tradition d’accueil de notre pays. « Depuis 2015, la Belgique a accordé le statut de réfugiés à 15 000 personnes chaque année afin de les protéger des horreurs de la guerre. La Belgique respecte les conventions internationales. Elle respecte les Droits de l’Homme et respecte aussi l’Etat de droit en accueillant et protégeant tous ceux qui font part de leur souhait de s’installer sur notre territoire dans la légalité ».

Deux offres clairement identifiables

Pour Olivier Chastel, les francophones ont désormais le choix entre deux offres clairement identifiables. « Il y a d’une part un projet de centre-droit que nous portons avec pour priorité l’économie, l’emploi et l’amélioration du niveau de vie. Et il y a d’autre part une gauche aux abois qui court derrière le PTB. Cette dualisation de l’échiquier renforce le rôle du MR. Le Mouvement Réformateur se pose en grand parti populaire et responsable, garant de la stabilité institutionnelle de notre pays ».