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Le travail et la collaboration se poursuivent entre Denis Ducarme et l’AFSCA. En effet, il existe entre le ministre et l’agence de contrôle alimentaire cette même volonté d’avancer ensemble pour assurer la sécurité alimentaire des consommateurs.

AFSCA : il faut d’abord rétablir la confiance

Le ministre Ducarme compte réformer le système existant et cela en faveur des consommateurs et des petits producteurs.

Cela s’effectue premièrement à travers la réalisation d’audits de la structure et du fonctionnement de l’agence. Les contrôles et la relation avec le Parquet sont également à analyser.

Les non-conformités ne doivent pas rester la norme

Au regard du dossier “Deroy”, il y a eu un constat d’infraction et une procédure judiciaire. Cependant le tribunal de Liège a suspendu la mesure prise par l’AFSCA. Certains appelaient le ministre Ducarme à faire appel, cela ne relève cependant pas de la responsabilité du ministre.

En effet, d’un part, nous ne sommes pas dans une procédure qui a un danger spécifique pour la santé publique. D’autre part, la séparation des pouvoirs fait partie intégrante du système Belge. Le juge a pris une décision en son chef qui indique que les droits de la défense n’ont pas été respectés.

 L’intransigeance est nécessaire pour assurer la sécurité de nos consommateurs

Le Ministre de l’Agriculture a pointé un certain nombre d’éléments par rapport à l’affaire Veviba. Les scandales consécutifs démontrent que le contrat n’a pas été pleinement respecté. C’est pourquoi le gouvernement fédéral a donné un mandat au ministre pour produire un certain nombre d’audits.

La situation doit changer, il faut donc pouvoir produire des réformes là où personne ne s’est encore imposé auparavant. Ce travail se réalise quotidiennement et conjointement entre le ministre Ducarme et l’Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaine Alimentaire.  Le but est partagé : améliorer l’outil et le rendre plus performant.