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DigitalMobilité

MOBILITÉ – Des véhicules autonomes bientôt en test en Belgique

Par 15/09/2016avril 11th, 2018Pas de commentaire

Le Ministre de la Mobilité, François Bellot, propose au gouvernement fédéral d’approuver un nouveau texte. Il a pour but d’encadrer les tests des véhicules autonomes en Belgique.

Les Régions ainsi que les industries technologiques et automobiles l’ont rédigé conjointement. En effet, celles-ci sont susceptibles de devoir les réaliser.

Des services grâce à la technologie

Un ou plusieurs utilisateur(s) aux trajets partagés pourrai(en)t, via une application, réserver un véhicule autonome et connecté. C’est un atout supplémentaire pour favoriser ce type de mobilité combinée avec des services privés et des transports en commun.

Des tests sur la voie publique

Le « Code of practice », facilite l’organisation de tests de ce type de véhicule sur la voie publique.  Dans ce texte sont précisés les différentes conditions des tests afin qu’ils permettent de minimiser les risques pour les autres usagers. Trois domaines sont prioritairement concernés : l’infrastructure publique, les véhicules test et le conducteur et l’équipe de test.

Une Belgique attractive comme terrain d’expérimentation

L’objectif de ce texte est double : aider les organisateurs de tests et garantir la sécurité de tous. Dès lors, bien sûr, que ces essais se déroulent dans un lieu public.  Mais au-delà de cela, il ouvre la voie à de nouvelles perspectives et rend la Belgique attractive comme terrain d’expérimentation.

Pour le Ministre Bellot : « Ce texte va au-delà de la définition des règles de bonnes conduites pour l’organisation de test avec des voitures autonomes, la volonté est de réellement se projeter dans l’avenir et de préparer, concrètement et dès aujourd’hui, la mobilité de demain. Nous devons démontrer par des tests que les technologies embarquées dans les véhicules, combinées avec une localisation par satellite et une infrastructure adaptée, améliorent très clairement la sécurité routière, contribuent à fluidifier le trafic et diminuent les rejets de CO2 grâce notamment à une plus grande maitrise des accélérations et décélérations des véhicules. Ces tests serviront également à travailler sur le « mental shift »  à savoir définir une nouvelle approche dans les choix de mobilité”