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Premier ministre en affaires courantes, tête de liste à la Chambre en Brabant wallon  et nouveau Président du MR, Charles Michel entend ainsi défendre le bilan largement positif de son Gouvernement, notamment au niveau socio-économique et climatique. Pour Charles Michel, il importe aussi de mener le débat sur le fond en se focalisant sur les véritables enjeux pour la prochaine législature : création d’emploi, pouvoir d’achat, climat, etc.

Charles Michel: pleinement engagé dans ses fonctions

Charles Michel s’engage pleinement dans ses fonctions de Premier ministre et de Président du MR. Il rappelle d’une part que les deux fonctions ne sont pas incompatibles et d’autre part, que son agenda le lui permet puisque le Gouvernement est en affaires courantes. De plus, l’ensemble des grandes réformes parlementaires ont déjà été votées.

Charles Michel souligne encore qu’il n’existe aucune confusion entre les cabinets ministériels et les équipes politiques du MR. Les premiers sont au service du Gouvernement tandis que les seconds mènent la campagne.

Aucun écart entre le rôle de Premier ministre et le rôle de négociateur du MR

Pour Charles Michel, il n’y a aucun écart entre son rôle de Premier ministre et son rôle de négociateur du MR. Former des coalitions avec des partenaires qui ne se trouvent pas dans le Gouvernement est un cas classique en politique. En effet, après des élections, la plupart des ministres, quelle que soit leur formation politique, sont dans des équipes de négociations.

Autrement dit, en fonction du résultat des élections, il s’agit de choisir le projet politique qui recueille une majorité parlementaire.

Un Gouvernement et des résultats positifs

Tout d’abord, Charles Michel est fier des résultats de son Gouvernement : création de 220.000 emplois depuis 2014, un taux d’emploi de plus de 70%, une situation budgétaire améliorée et une diminution de manière substantielle des impôts sur le travail.

Ensuite, le Premier ministre est conscient que le travail doit continuer. Pour Charles Michel, les citoyens font face à un choix clair : le blocage communautaire et institutionnel avec le PS et la N-VA, ou la capacité du MR à mener des réformes économiques et sociales qui sécurisent le pays.

Une transition écologique qui n’appauvrit pas la société

Charles Michel se réjouit de l’engagement citoyen concernant l’avenir et les questions climatiques.

Le Premier ministre préconise la force de proposition concrète plutôt que l’incantation et l’accusation menées par certains. Pour Charles Michel, des leaders politiques surfent sur la vague climatique tout en évitant le débat sur le fond. Charles Michel prêche quant à lui une transition écologique qui stimule l’emploi et l’investissement. Pour le Premier ministre, il est hors de question d’appauvrir la société via une rage taxatoire.

Climat: un bilan positif et du travail à poursuivre

Charles Michel veut faire davantage pour le climat. Il s’agit d’un enjeu crucial. Toutefois, il rappelle que son Gouvernement oeuvre de manière positive pour l’environnement depuis le début de la législature. Plusieurs mesures importantes ont d’ailleurs vu le jour.

La Belgique est le 2e pays en Europe qui mobilise près de 5 milliards d’euros pour les “green bonds”. Il s’agit d’investissements vertueux pour la transition énergétique. Le pays est également pionnier dans l’éolien offshore grâce au Gouvernement Michel. Un million de foyers belges sont raccordés aux éoliennes situées en Mer du Nord. En plus de l’énergie verte, cette technologie amène de l’emploi et permet d’exporter un savoir-faire.

Finalement, Charles Michel soutient le Pacte pour les investissements. Ce dernier comporte 2 priorités climatiques: la transition énergétique et la mobilité. Il est question de mesures précises chiffrées à appliquer tout au long des prochaines années.